Vous pouvez choisir un film précis :  Par titre Akarui mirai American splendor Arimpara Carandiru Ce jours-là Des plumes dans la tête Dogville Elephant Fanfan la tulipe James’s journey to Jerusalem Japanese story Kiss of life La chose publique La Cruz del sur La petite Lili Le coeur ailleurs (Il cuore altrove) Le temps du loup Les égarés Les côtelettes Les fantômes du Titanic Les invasions barbares Les triplettes de Belleville Matrix Reloaded Mystic River Pan é asr (A Cinq Heures de l’après-midi) Père et fils (Otets i syn) Purple Butterfly Qui a tué Bambi ? Reconstruction Sang et or (Talaye sorkh) Soldados de Salamina Swimming pool The Brown Bunny The Soul of a man The Tulse Luper suitcases Tiresia Uzak Vai e vem

15 mai 2003
Ce jour-là
par Maguy Chailley
Ce jour-là de Raoul Ruiz Ces variations sur le thème de la folie nous font passer de l’étonnement au rire, en maintenant notre curiosité en permanence éveillée au sujet des tenants et aboutissants de ce " thriller " helvétique. Dès le générique (sur fond noir) nous sommes dans l’atmosphère du film, uniquement par la bande son faite de cris (...)

15 mai 2003
La Cruz del Sur
par Jacques Lefur
Au moment où l’Argentine traverse une des crises économiques et politiques les plus graves de son histoire, le cinéma Argentin retrouve une étonnante vitalité. L’histoire n’est pas neuve : destin tragique de deux jeunes qui rêvent de fuir au Paraguay pour trouver ce paradis, vol de cocaïne, fuite à la Bonnie and Clyde, qui finira mal. Mais (...)

15 mai 2003
La Cruz del Sur
par Jean Lods
Ici aussi, comme dans l’enfer de Dante, il faut laisser l’espoir à l’entrée : on s’enfonce peu à peu dans un monde d’une noirceur totale, à l’étouffement progressif et inéluctable. L’Argentine aujourd’hui ? Manifestement, à travers une histoire- parabole. La réalisation à la forme d’un étau qui ne cesse de se resserrer. Malheureusement, (...)

14 mai 2003
Fanfan la Tulipe
par Corine Rochesson
Du panache, beaucoup d’humour, des cascades réglées au millimètre et des interpretes qui prennent du plaisir à jouer. Des dialogues souvent "à la Chabat" à prendre au cinquième degré avec en prime un clin d’oeil à Pialat et son "si vous ne m’aimez pas, je ne vous aime pas non plus". Kraczyck tient la rampe face à Christian Jacques et Besson (...)