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  • The man from London (L'homme de Londres)

    The man from London (L’homme de Londres)

    Dans le somptueux noir et blanc d’un quai plongé dans un brouillard nocturne, tandis qu’une pénétrante et sépulcrale musique vrille notre oreille, la camera remonte lentement le long de la coque d’un vaisseau fantôme jusqu’au bastingage d’où elle nous fait découvrir sur le pont, au loin, un étrange conciliabule nocturne qui nous plonge (...)
  • Auf der anderen seite (de l'autre côté)

    Auf der anderen seite (de l’autre côté)

    De l’autre côté : le film porte bien son titre, qui montre six personnages, non pas en quête d’auteur, mais à la recherche d’un (ou d’une) autre être qui se trouve dans l’ailleurs d’une autre ville, d’une autre frontière, d’une autre civilisation ou d’une autre génération. Sans jamais tomber dans l’artificiel des écheveaux trop artistiquement (...)
  • Calle Santa Fe (Rue Santa Fe)

    Calle Santa Fe (Rue Santa Fe)

    Retour au 724 rue Santa Fe dans un fauboug populaire de Santiago. Retour parce qu’elle revient sur les lieux où son compagnon a été tué le 5 octobre 1974. Il s’appelle Miguel Enriquez, chef de la résistance contre la dictature de Pinochet ; elle, Carmen Castillo. Une certitude l’anime : "Miguel est toujours là". Alors, à partir de (...)
  • MEDUZOT (Les méduses)

    MEDUZOT (Les méduses)

    Ce film dégage un charme indéniable, car il nous entraîne dans un monde où le réel et le rêve se côtoient. Mais si on y prend un peu garde, on trouverait aussi des images de la vie qui sont comme des images rêvées ! Sur une plage de Tel Aviv, "apparaît" une petite fille de cinq ans à Batya, qui est en pleine déconfiture sentimentale et (...)
  • Le scaphandre et le papillon

    Le scaphandre et le papillon

    Grâce à une mise en scène subjective, qui reflète le point de vue du scaphandre, le spectateur, immergé dès les premiers plans dans le corps entièrement paralysé de Jean-Do, n’appréhendera pendant le premier tiers du film les images du monde extérieur partielles, chavirées, ou brouillées par les larmes qu’à travers son unique oeil gauche (...)