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  • Honor de cavalleria

    Honor de cavalleria

    Ce film expérimental et quasi muet développe en une ample litanie minimaliste le titre d’une oeuvre conceptuelle. Grâce à l’image et au delà de l’image -ou, selon la belle expression d’Abel Gance, par l’âme des images-, le cinéaste nous rend sensible à l’essence même de la chevalerie. Point d’actions d’éclat ni de hauts faits, mais la (...)
  • Le vent se lève

    Le vent se lève

    Ken Loach frappe fort. Au début on croit se trouver dans une de ses cuvées classiques, clignant davantage du côté de "Land and Freedom" que de celui de ses films sociaux : un peuple sous tutelle, ici les Irlandais, luttant contre l’oppression des Anglais. Avec des scènes comme il en a le secret : ainsi le procès où une fragile nouvelle (...)
  • Paris je t'aime

    Paris je t’aime

    Comment rendre compte de manière unifiée d’un patchwork de séquences aussi diverses ? On se demande si la référence à "Paris" suffit à assurer le lien. Mais "je t’aime" est le lien le plus évident car il y est toujours question d’amour, décliné de diverses manières : amour naissant, amour finissant, amour passager, souvenirs d’amour. Amour (...)
  • Les amitiés maléfiques

    Les amitiés maléfiques

    Dans le film, une phrase revient de manière lancinante :"Certains écrivent, car ils n’ont pas le courage de ne pas le faire" ! Eh bien, je dois bien dire que je n’ai pas été convaincu par la "démonstration" de cette proposition digne d’un sujet de dissertation au bac !Tout tourne donc autour de la nécessité de l’écriture, quand elle est (...)
  • Le vent se lève

    Le vent se lève

    "On n’est pas là pour se battre mais pour jouer !" rappelle vigoureuement l’arbitre aux joueurs de hockey dans les premières minutes du film. Malgré ce sévère avertissement on passe très rapidement de cette lutte ludique à une lutte armée qui nous tenaillera jusqu’aux dernières images. En effet les troupes prennent tous les moyens pour (...)