Prenez le mythe grec de Tiresias, ajoutez un long générique sur coulée de lave, saupoudrez de Beethoven. Faites durer le tout et mettez quelques très longues scènes, notamment au Bois de Boulogne, parmi les travestis brésiliens. N’oubliez pas la pure jeune fille, silencieuse, belle et douce, qui soigne le malheureux héros aux yeux crevés. (...)