Retrouvez ici les chroniques radio par Claude Carrez que vous avez pu entendre sur R.C.F. :
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Chronique du 26 mai 2012
La journée du Festival par Claude Carrez ...
Chronique du 25 mai 2012
La journée du Festival par Claude Carrez ...
Chronique du 24 mai 2012
La journée du Festival par Claude Carrez ...
Chronique du 23 mai 2012
Avec "A perdre la raison", on retrouve les grands acteurs Tahar Rahim et Nils Arestrup. Pour Claude Carrez, ce film évoque la douleur universelle des femmes...
Chronique du 22 mai 2012
Si les thèmes abordés à Cannes sont souvent sombres, le film de Ken Loach, "La part des anges", a réussi à faire rire le public cannois. La dimension sociale est très forte mais traitée avec une légèreté respectueuse, comme nous l’explique Claude Carrez.
Chronique du 21 mai 2012
Michael Haneke, un habitué du festival, revient cette année avec son film "Amour". Une œuvre franco-allemande-autrichienne qui, pour Claude Carrez, mériterait la palme ! Un film tout en sobriété sur la vieillesse, la maladie, la mort et le couple.
Chronique du 19 mai 2012
"Au-delà des collines" de Christian Mungiu, est le film inspiré d’un fait divers que Claude Carrez choisit de nous présenter en direct de Cannes. Une oeuvre ambitieuse, à l’esthétique qui rappelle Tarkovsky, qui traite du libre arbitre et du choix du bien ou du mal.
Chronique du 18 mai 2012
"De rouille et d’os", le nouveau film de Jacques Audiard, crée l’événement à Cannes. Il s’agit d’une transposition d’un livre canadien, un mélodrame excessif et cependant très ancré dans le réel, comme le dit Claude Carrez en direct du festival.
Chronique du 17 mai 2012
En direct de la Croisette, Claude Carrez nous présente "Moonrise Kingdom", le film de Wes Anderson qui enchante le festival pour son deuxième jour.
Chronique du 16 mai 2012
2012 est une année charnière avec l’arrivée de deux nouveaux directeurs des sections parallèles, qui annonce une nouvelle répartition des forces entre les sélections. On fête aussi cette année les 20 ans de l’Acid, association du cinéma indépendant.
Le 18 mai 2012, Vivement le cinéma
Avec Jérôme Prieur, invité de Claude Carrez,
Jérôme Prieur, invité de Claude Carrez, rend hommage aux explorateurs de l’image en mouvement : d’Ingres à Etienne Robertson, d’Athanase Kircher à Joseph Plateau... Une vision originale de la préhistoire du cinéma.
Dans Vivement le cinéma, Jérôme Prieur explore les origines les plus lointaines du cinéma contemporain, bien avant les frères Lumière ! Il trouve d’abord chez les peintres du XIXème siècle un appétit pour l’image "qui va bouger". Dans leur façon de peindre l’instant d’après ou d’avant, Ingres, mais aussi Jean-Léon Jérôme ou Emile Friant, invitent le spectateur à reconstituer ce qu’il aurait pu voir.
Etienne-Gaspard Robert, dit Etienne Robertson (1764-1837), est le premier à avoir proposé des spectacles de Lanterne magique améliorés. Sa mise en scène de l’image et du son, associée à la dissimulation de l’origine de l’image est une avancée vers le cinéma contemporain et l’invention du public.
Hommage également à Athanase Kircher, père de la lanterne magique, à Joseph Plateau ou Georges Demenÿ... Des personnalités originales, éclectiques, qui ont, sans le savoir, appelé de leurs recherches l’arrivée du cinéma contemporain.
Le 15 mai 2012, Grand Angle
Avec Michèle Debidour, Jean-Claude Raspiengas, Joséphine Lebard
Il n’y a pas que les films explicitement religieux pour nous faire grandir dans la foi. "Mystic River", "Rosetta"... en quoi le septième art peut-il compter dans la vie spirituelle ? Regards croisés autour de Christophe Henning.
Et si nous allions au cinéma pour réfléchir, pour méditer, pour approfondir notre vie intérieure ? S’il nous fait rire et pleurer, le cinéma peut aussi nous entraîner dans une quête intime, spirituelle.
C’est l’invitation évidente de "L’Evangile selon saint Matthieu", de Pasolini (Prix spécial du jury à la Mostra de Venise 1964), de "Mission", de Roland Joffé (Palme d’or 1986), ou plus récemment de "Des hommes et des dieux" (Grand prix 2010 à Cannes). Mais il y a aussi "Rosetta", des frères Dardenne (Palme d’or 1999), "Mystic river" de Clint Eastwood... La dimension spirituelle ne se limite pas au registre religieux. Les films inspirés sont-ils les cathédrales du XXème siècle ?
