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  • Urchin

    Urchin

    "Pauvre petit gars" est la traduction de Urchin. Il est difficile d’avoir de l’empathie pour Mike. Et c’est peut-être le questionnement du film. Il est SDF à Londres, abimé par l’alcool et la drogue. On ne sait ni d’où il vient ni où il va. On apprendra juste que cela fait 5 ans qu’il est dans la rue. Avec son visage encore enfantin - (…)
  • Orwell 2 + 2 =5

    Orwell 2 + 2 =5

    Quelle heureuse idée de se référer à George Orwell en ces contextes géopolitiques menacés ! De même, pour contrecarrer la pratique du mensonge qu’il dénonçait dans son livre (1984), quoi de plus pertinent que de s’appuyer sur son carnet intime ? Opter pour une voix off à l’adresse du spectateur, qui le renseigne sur les jalons de la biographie (…)
  • The Phœnician scheme

    The Phœnician scheme

    Quand un drame familial se transforme en comédie loufoque - avec de l’espionnage pour couronner le tout -cela donne ce film. Zsa Zsa Korda, un riche businessman sans pitié, décide de léguer son empire à sa fille de peur qu’une énième tentative d’assassinat ne réussisse. Celle-ci étant devenue religieuse, elle rechigne à accepter "la période (…)
  • Once upon a time in Gaza

    Once upon a time in Gaza

    Il est toujours difficile de parler d’un film à visée politique en restant impartial. Cependant, l’histoire pourrait se situer n’importe où, dans un pays forcément en guerre puisque les protagonistes vivent de système D quotidien. L’embargo engendre le marché noir et l’argent, la corruption. Un étudiant un peu rêveur, un restaurateur dealer et (…)
  • Die my love

    Die my love

    La britannique Lynne Ramsay est une habituée du festival de Cannes : son film A Beautiful Day avait reçu le prix du scénario en 2017. Son nouveau long métrage Die my love s’inspire du roman de l’Argentine Ariana Harwicz ; cette histoire d’amour va virer au cauchemar. La scène d’ouverture est une forêt incandescente : le ton est donné. Jackson (…)