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Banel & Adama
Au travers d’images sublimes très picturales, Ramata-Toulaye Sy nous amène dans un petit village sénégalais où deux jeunes s’aiment d’un amour sincère. « J’aime comme une femme peut aimer » s’exclame Banel et cette phrase résume à elle seule cette relation qui passera par tous les états. La réalisatrice les filme divinement bien et les (…) -
Goodbye Julia
Nous sommes en 2011, à la veille du référendum pour l’indépendance du Sud Soudan. Dans son film, aux couleurs et photographies magnifiques, c’est à travers le portrait de deux femmes appartenant à chacune des communautés qui s’affrontent que Mohamed Kardofani nous parle de son pays « le Soudan qui souffre de racisme, de tribalisme, de préjugés (…) -
Anatomie d’une chute
Film de procès d’une grande puissance par l’écriture, le montage et l’interprétation. « Ce qui compte n’est pas la vérité » dira son avocat à Sandra (mais ce que les jurés comprendront). On sort meurtri par une épreuve de cour d’assises dans laquelle cette recherche de vérité et la volonté de convaincre, violent les jardins secrets d’une (…) -
Le syndrome des amours passées
De l’incapacité à procréer – a priori douloureuse –, les belges Ann SIROT et Raphaël BALBONIE, pour leur second long-métrage, (re)tirent une comédie pétillante. Le syndrome évoqué et sa thérapie (renouer au lit au moins une fois avec tous ses ex-partenaires) sont pure fantaisie, revendiquée aussi par l’onirisme des séquences floutées, parfois (…) -
Baavgai Bolohson
Ce beau film qui nous vient de Mongolie et concourt pour la Caméra d’or, raconte, comme d’autres films venant de pays loin de l’Occident, le besoin pressant d’apprendre de jeunes gens pour qui cette possibilité ne va pas de soi. Le froid, le manque de nourriture et de quoi se chauffer, un père mort et une mère qui n’arrive plus à faire face, (…)
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