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  • Centochiodi

    Centochiodi

    Au terme de près de 40 ans de cinéma, Ermano Olmi s’engage, peut-être un peu maladroitement, aux côtés des altermondialistes. Le film s’ouvre avec éclat, dans l’éthos du Nom de la rose , par une mystérieuse crucifixion des livres sur le sol de la bibliothèque des manuscrits, et se poursuit avec la rupture aventureuse d’avec le vieux monde du (...)
  • La soledad

    La soledad

    C’est à la représentation de la simple et dure vie de tous les jours de personnages modestes et des tensions familiales qu’ils vivent que nous convie le réalisateur de ce moderne film néoréaliste. Ainsi l’argent, le chômage, la maladie et la mort, les frustrations dans la fratrie, les recompositions familiales sont-elles au centre de cette (...)
  • El bano del papa

    El bano del papa

    L’impertinence du titre annonce le propos, même s’il est tenu de manière distanciée dans le film : le discours de l’Eglise triomphante n’a guère d’influence et de portée auprès des populations pauvres auxquelles il prétend pourtant s’adresser. Ce qui intéresse les villageois de Melo, c’est l’occasion que cette venue du pape va leur donner de (...)
  • Import Export

    Import Export

    On a l’impression que le cinéaste avait une intention précise en tournant ces deux histoires parallèles : peut être au niveau des rapports Est-Ouest ? ou aux échanges de main d’oeuvre entre l’Ukraine et l’Autriche ? ou à l’exposé de la misère sociale et psychologique d’une femme (ukrainienne) et d’un homme (autrichien), tous les deux vraiment (...)
  • Paranoid Park (English Corner)

    Paranoid Park (English Corner)

    Gus Van Sant has been making smaller, more ’cinematic’ films in recent years, after Elephant. Here he is back in school, amongst a group of skateboarders. At a railway yard a security guard has been killed. Has it been one of the skateboarders ? Van Sant focuses on Alex (Gabe Levins), who is writing a story about the park where people skate. (...)