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Dogville
Lars Von Trier seems fascinated by moral and religious themes. So much of his imagery and his references are biblical. It has been easy to see his persecuted woman, Emily Watson in Breaking the Waves and Bjork in Dancer in the Dark, as martyrs, whose sufferings bring healing to men. Von Trier sets them up as redemptive Christ-figures. As we (…) -
Dogville
Un chien qui s’appelle Moïse, une héroïne qui s’appelle Grace, 10 chapitres au film ... voilà pour trois premières références, bibliques. Puis Grace arrive à Dogville, un village particulier avec ses personnages et son mode de vie étriqué, ses habitudes tournées vers lui-même, ses mesquineries quotidiennes, bref le genre humain selon Lars von (…) -
Carandiru, une prison pas comme les autres
Hasard ou non, "Carandiru" est projeté le même jour que Dogville. Autre point commun il se déroule lui aussi dans un univers clos, et pour cause il se passe dans une des plus grandes prisons du Brésil à Sao Paulo. Prévue pour 4000 détenus elle en héberge 7500. C’est par l’autogestion à tous points de vues que l’ordre est maintenu. Ce film (…) -
Dogville
Lars von Trier avait dit lui-même que ses trois précédents films avaient été conçus sur le thème de la bonté. Je les avais exécrés. Il nous a engagés cette fois sur le chemin inverse : une implacable transformation d’un appel aux bons sentiments à l’élimination vengeresse de tous ces " braves gens ". Et cette fois j’ai aimé ! Mon côté (…) -
Reconstruction
Voici un premier film qui nous vient du Danemark et qui conquiert dès les premières images par un ton nerveux, un cadrage précis, un style emporté : il est donc possible de raconter de manière neuve le surgissement imprévu d’un grand amour, après tant de romans et de films sur le même sujet ! L’éternelle histoire de " Boy meets girl " (Loeos (…)
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