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Les triplettes de Belleville
Les films d’animation sont maintenant représentés à Cannes et il faut se rappeler le grand succès de "Shrek" en 2001. En ce qui concerne "Les triplettes de Belleville" on ne sait si les plus jeunes y trouveront leur compte. Le contexte (banlieue fort peu riante et le cyclisme de compétition) et les références musicales (le music-hall des (...) -
Arimpara
Un grain de beauté qui grossit sans que la médecine traditionnelle indienne n’arrive à enrayer son développement . Un homme qui refuse la médecine moderne et laisse se développer ce bouton noir jusqu’à ce qu’il devienne une protubérance monstrueuse et sanguinolente, à tel point que ses proches l’abandonnent. On a du mal à suivre jusqu’au (...) -
Reconstruction
Voici un premier film qui nous vient du Danemark et qui conquiert dès les premières images par un ton nerveux, un cadrage précis, un style emporté : il est donc possible de raconter de manière neuve le surgissement imprévu d’un grand amour, après tant de romans et de films sur le même sujet ! L’éternelle histoire de " Boy meets girl " (Loeos (...) -
Elephant
Après une heure quinze de déambulations dans les couloirs interminables d’un vaste lycée américain (merci la steadycam) arrive dans les quinze dernières minutes l’unique scène d’action : la tuerie de Colombine. On a presque envie de dire "enfin il se passe quelque choses" mais c’est pour assister à un massacre gratuit filmé lui aussi avec ces (...) -
Elephant
Comment expliquer l’inexplicable ? Justement en ne cherchant pas à "expliquer", en ne voulant pas donner une interprétation rationnelle qui satisfasse l’esprit mais qui laisse à l’écart toute la dimension de l’inverbalisable où se niche, précisément, l’inexplicable. C’est le parti choisi par Gus Van Sant qui met en scène ici un massacre dans (...)
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