Vous pouvez choisir un film précis :  Par titre Akarui mirai American splendor Arimpara Carandiru Ce jours-là Des plumes dans la tête Dogville Elephant Fanfan la tulipe James’s journey to Jerusalem Japanese story Kiss of life La chose publique La Cruz del sur La petite Lili Le coeur ailleurs (Il cuore altrove) Le temps du loup Les égarés Les côtelettes Les fantômes du Titanic Les invasions barbares Les triplettes de Belleville Matrix Reloaded Mystic River Pan é asr (A Cinq Heures de l’après-midi) Père et fils (Otets i syn) Purple Butterfly Qui a tué Bambi ? Reconstruction Sang et or (Talaye sorkh) Soldados de Salamina Swimming pool The Brown Bunny The Soul of a man The Tulse Luper suitcases Tiresia Uzak Vai e vem

17 mai 2003
Il Cuore Altrove
par Jacques Lefur
Il serait dommage qu’en raison de sa facture classique, ce film italien, qui se joue dans les années 1930, voit méconnaître ses réelles qualités. Pupi Avati est un réel cinéaste, et il met ici son talent au service d’une belle histoire, qui a des racines autobiographiques. Un scénario bien mené, entre Rome et Bologne, avec de nombreux (…)

16 mai 2003
"Cinq heures de l’après-midi" : l’heure des bonnes questions.
par Corine Rochesson
Poésie et mort, tradition religieuse masculine et émancipation féminine, humour politique et tragédie de la vie quotidienne sont les thèmes du film de Samira Makhmalbaf. Moins esthétisante que son père (Moshen Makhmalbaf) pour Kandahar c’est au cœur de la vie au jour le jour d’une famille afghane que la jeune réalisatrice nous entraîne au (…)

16 mai 2003
American Splendor
par Corine Rochesson
Une curiosité à découvrir à plusieurs points de vue que ce film américain de Shari Springer Bermann et Robert Pulcini. Curiosité à la fois par le personnage central du film Harvey Pekar, documentaliste de métier mais aussi scénariste de BD par passion. Curiosité par le sujet des BD les scénari d’Harvey, "American Splendor", sont inspirés par sa (…)

16 mai 2003
Les égarés
par Jean Domon
Subtil ! Je ne garantis pas l’étymologie du mot, mais il définit bien, selon moi, le film : la progression de son scénario (de l’insupportable horreur du début à ce panoramique final ouvert sur un "après"), la qualité de ses dialogues, la finesse des sentiments, tout concourt à cette richesses de l’œuvre. Et quelle justesse dans le regard et le (…)

16 mai 2003
The soul of a man
par Jean Domon
Documentaire, peut être, mais quel travail s’est imposé à Wim Wenders pour rendre hommage à ses trois "héros" ! Trois chanteurs de blues de la grande époque disparus aujourd’hui et passablement oubliés, dont le réalisateur recompose, c’est bien le mot, l’univers musical. Recomposition d’images à partir d’archives, et de sons, grâce à (…)