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Hollywood ending

Hollywood ending

Film américain (2001)
Comédie
Durée : 1h 50 mn
Date de sortie : 15 mai 2002
Woody Allen, Tiffani-Amber Thiessen, Treat Williams, Téa Leoni, George Hamilton ...
Réalisé par Woody Allen

Val Waxman, un réalisateur qui a connu son heure de gloire dans les années quatre-vingt, met aujourd’hui en scène de simples spots publicitaires. A Hollywood, certains le traitent d’"artiste", d’"intello" ou de "perfectionniste maniaque", tandis que d’autres le considèrent comme un fauteur de trouble, un nombriliste névrosé et un incurable hypocondriaque.
Val vient d’être viré de son dernier tournage au Canada. Il se sait au bout du rouleau. C’est alors que son ex-femme, Ellie, lui offre une chance inespérée de se refaire. Elle suggère au puissant producteur Hal Yeager, son patron et amant, de confier à Val la réalisation d’un film de soixante millions de dollars : The City that never sleeps, une ode à sa ville favorite : New York.
Poussé par son agent Al Hacks, Val emporte de justesse le contrat. Mais une "petite complication" surgit à la veille du tournage.


(L'avis exprimé par les rédacteurs de cette rubrique est indépendant du travail et des choix du Jury oecuménique.)

Listening to Woody Allen, we realise that Hollywood is not his favourite place : there movies are ’conceived in venality’. It sounds as if he prefers Hollywood to end. However, his title is a poke at the happily contrived ’Hollywood ending’, where he, as a temperamental and hypochondriac director goes off to France where they have discovered his genius. It’s typical Allen, often very funny lines, but sometimes a bit laboured, especially when he is directing his movie after he has gone blind. Despite the strained pieces, it is an amusing take on the movie industry and movie egos. Tara Leoni is one of his strongest leading ladies and Mark Rydell is his ever-optimistic agent.


Encore une histoire de cinéma... et de fin. N.Y. contre L.A. ; le réa névrosé face au producteur efficace, la fantaisie aveugle balayant la lucidité commerciale. Mais jusqu’où pousser la métaphore ? J’avoue n’être pas allenophile et si je goûte les bons mots j’apprécie peu les gags à grosse ficelle et la gestuelle de Woody. Mais je suis content pour beaucoup de mes amis qu’à nouveau ce qui est digne de la poubelle là-bas est adoré chez nous !


" I don’t want to do a comeback with this hasbeen " .... et au bas de l’écran la traduction " je ne veux pas faire de comeback avec ce hasbeen".
Subitement malgré l’accent américain de Woody Allen, je comprends tout. Serions-nous tous devenus des américains ?
Heureusement 49 pays présentent leur film à Cannes. J’aurai donc le temps d’être dépaysé et oxygéné sans devenir un hasbeen.